Le Nord Ouest de Madagascar est terminé, c'était la partie la plus tranquille de mon voyage.
2éme partie du voyage qui commence, plus roots, plus authentique, un peu plus éprouvante aussi. En cherchant des possibilités pour faire le circuit que je souhaitais faire, j’ai croisé sur Facebook, un guide qui faisait un trajet similaire avec une jeune canadienne de 29 ans. Après contact, c’est parti, je fais le tour avec eux.
Pour suivre un peu mon circuit ...
Du coup, je change d’hôtel à Antananarivo pour me retrouver dans le même endroit qu’eux.
Le lendemain matin, nous prenons un minivan qui va nous emmener à Antsirabe (2 sur la carte) – ville du centre du pays - ; c’est le début de la fameuse RN7 … 5 heures de minivan pour 100 km environ.
L’intérêt de ce minivan, c’est que nous avons un siège par personne !!!
Antsirabe, nous n’y passerons qu’une nuit – le temps de trouver une bonne boulangerie avec de bons croissants – . Antsirabe possède aussi un marché de pierres semi-précieuses. Je n'en ai pas trouvé de belles, mais j'y retourne bientôt.
Et de nouveau un minivan va nous emmener en 6 heures à Miandrivazo.
Miandrivazo est une petite ville sans intérêt, sinon d'être le point de départ pour la descente du fleuve, et dans notre cas, un passage pour rejoindre le Makay. Nous commençons par notre trek dans le Makay, la descente de la Tsiribihina sera pour après.
Le long de toute cette route, de beaux paysages, des villages, dont je vous livre ci-après une petite compilation
De très nombreuses rizières, partout. Madagascar est un grand producteur de riz.
Les maisons sont faites en briques de terre - qui sont fabriquées un peu partout - et de toits en "chaume".
Toujours beaucoup de monde le long des fleuves, en particulier pour la lessive ! Des couleurs, de l'agitation.
Quelques personnes sont descendues de notre minivan, alors pour le re remplir, le chauffeur va faire un tour dans les villages aux alentours. Afin de ne pas faire 1 heure de bus en plus, nous l'attendons près du "bureau" de la compagnie de minivan ...
Le chauffeur, ayant trouvé que son bus freinait mal s'arrête sur le bas-côté de la route pour changer les plaquettes de freins !
Visiblement, il a l'habitude
Moyenne 25 km/h ... mais pourquoi ??? Les routes sont dans un état déplorables, aucune réparation depuis que les français les ont laissées en 1960. L'argent a bien évidemment été détourné ! Aujourd'hui des fonds européens aident à la reconstruction des routes principales, en payant directement les entreprises.
Enfin, après ... heures, nous arrivons au carrefour où un 4x4 nous attend pour nous emmener en bordure du Makay. 3 heures de piste
Fin de la piste, nous sommes dans un village, très vite entouré de tous les enfants.
Enfin, nous sommes arrivés. Un dernier repas concocté dans la cuisine de la maison du chef de village. Nous prenons 6 porteurs (tente, nourriture, etc...), un pisteur ...
1/2 heure de 4x4 encore, et maintenant, seules nos jambes nous permettent d'avancer.
Le Makay (le y se prononce) est une grande zone dans le centre ouest de Madagascar, isolée, très naturelle, et encore très peu destination touristique (mais ça devrait le devenir). Nous serons dans le Makay nord, et dans le Makay sud, des traces de premiers hommes de plus de 30 000 ans ont été découvertes.
Le Makay est un immense plateau coupé par de nombreux canyons, avec une forêt peu dense dans les parties basses.
Nos sacs à dos sur les épaules, nous démarrons notre trek. 4 heures de mise en jambes avant d'arriver à notre premier bivouac. Ils seront tous les long d'un fleuve (il y en a beaucoup) car nous avons besoin d'eau pour la cuisine.
Les porteurs partent une heure après nous, et arrivent bien avant nous !!!
Un cuisinier nous accompagne, et nous mangerons très bien tout au long de ce trek.
Nous aurons même de très bonnes crêpes au chocolat, ou des frites ! Toute la cuisine est faite sur un feu de bois, dans de grandes marmites en alu. Les locaux mangent essentiellement du riz, matin, midi et soir, avec une sauce. Nous avons donc des repas spécialement préparés pour nous …
Nous avons notre petite tente, chacun, et un sac de couchage pour la nuit. S’il fait chaud dans la journée, le froid arrive dès que le soleil disparait.
4 bivouacs en pleine nature
Les canyons se méritent …
Nous ferons entre 17 et 22 km par jour, pour les atteindre d’abord, et les parcourir ensuite. N’oublions pas qu’il faut revenir au campement ensuite !
Nos efforts sont largement récompensés. Nous marcherons au fond des canyons, souvent à plus de 50 mètres de la surface, parfois sur le sable, le plus souvent dans l’eau. Nous nagerons aussi pour avancer. Parfois, il faut se baisser pour passer, ou avancer de côté tellement le canyon est étroit. A un autre moment, c’est un tunnel que nous traversons dans l’obscurité.
L’eau a sculpté les roches de belle manière.
Pour boire, nous remplissons nos gourdes dans les rivières que nous traversons, l’eau est très pure, un peu sableuse quand même.
Une rencontre ... un caméléon
Quelques autres photos de notre quotidien
Et un autre spectateur ... un lémurien
5éme matin dans le Makay, la lune se couche quand le soleil se lève. Nous allons rejoindre le village pour changer d'horizon
Je passe rapidement sur cette journée ... 4 heures de marche, 3 heures de 4x4 et .... un van particulier ! Lorsque nous sommes arrivés au carrefour pour prendre le taxi brousse ... pas de taxi brousse ! Un van privé remontait à vide, notre guide a négocié, et nous voici en transport de luxe !!!
Retour à l’hôtel où nous étions, il y a 5 jours. Pas plus d’eau chaude que la dernière fois, mais l’eau n’est pas trop froide, et j’ai besoin d’une bonne douche.
Lever tôt ... Départ vers notre pirogue ... Un taxi brousse !
Le programme : descente de la Tsiribihina en pirogue – 3 jours, et 2 bivouacs sur les bords du fleuve. Là aussi, la balade se mérite ! D’abord un taxi brousse …. Allégé de tout le superflu ! Une bonne heure de shaker, pour arriver au milieu du village. Tous les enfants s’agglutinent autour de nous … Bonbons, stylos, et pour finir money !
Mais nous ne sommes pas arrivés à la rivière. ¾ d’heures de marche nous attendent ! Une charrette à zébus est prévue pour prendre nos bagages, mais elle n’arrivera pas. C’est à dos d’homme qu’ils arriveront beaucoup plus tard.
Et notre pirogue est là, vide ...
8 heures de pirogue le premier jour, idem le deuxième, un peu moins le troisième. Assis au fond de la pirogue, je rame de temps en temps, histoire de faire quelque chose. La vie s'écoule lentement.
Premier bivouac à côté d'une jolie cascade
Vous ne verrez pas le 2éme bivouac pour cause d'arrivée à la nuit.
Afin de ne pas perdre de temps, le cuisinier (toujours le même) fera le déjeuner sur un petit feu de charbon dans la pirogue, et nous mangerons sans nous arrêter (sauf le 2éme jour, à cause de la chaleur!)
Vous avez remarqué, aucun abri pour le soleil sur la pirogue ... Il fait chaud !
La Tsiribihina est un fleuve (Comme beaucoup d'autres) qui alimente la vie sur ses rives. Aucun autre moyen d'arriver à ces villages sans un bateau.
La vie s'y déroule paisible
Nous aussi continuons tranquillement (en malgache "moura moura"). J'ai calculé une moyenne de 6 km/h. Surtout, ne pas oublier d'acheter de quoi manger. Le piroguier sait où trouver de grosses gambas d'eau douce.
Flore, faune, pas mal d'animaux à voir : martin pécheurs, caméléon, crocodile, lémurien, cigognes, hérons, ...
Nos 3 jours de pirogue se terminent à un village connecté à la piste. J'avoue être content de sortir de la pirogue !
Je passe rapidement sur les 6 heures de piste, à se faire secouer sans arrêt, quelques traversées de village
2 bacs plus tard, où finalement, nous n'avons pas trop attendu (la saison touristique commence mi août)
Mais où allons nous ainsi ??? Visiter les Tsingy de Bemaraha. Ils ressemblent beaucoup à ceux que j'ai déjà vus, ceux-ci sont plus grands, plus hauts, et le sentier à l'intérieur des Tsingy ressemble un peu à de la varappe.
Sue le chemin d'approche, des lémuriens qui ne se sauvent pas trop vite afin d'être pris en photo ...
Sur la photo de droite, on voit la mère et le petit accroché un peu plus bas.
Me voici sur le point le plus haut. Mais pour y arriver, échelles, tunnels, escaliers ... 5 km en 4 heures !
Visite terminée. Une nuit dans un hôtel près des Tsingy, et 6 heures du matin, nous reprenons la route (la même qu'à l'aller), direction les fameux baobabs, presqu'emblème de Madagascar.
Il y a environ 100 espèces de baobabs sur l'île. Dans cette région, il me semble que ce sont les plus hauts.
Les premiers baobabs se dressent dans la brousse.
Baobab sacré, baobab amoureux ...
Et enfin, l'allée des baobabs ... Le site le plus vu à Madagascar
Et bien sûr, ci-dessus, la photo obligatoire .....
Et dessous, une autre qui me plait bien.
On remonte dans notre 4x4 pour une petite heure. Nous passons la nuit à Morondava.
Demain départ en pirogue à Bélo sur mer ... 3 heures de pirogue.
Mais, nous devions retirer de l'argent avant ... Debout 6h00 sur un pousse pousse pour aller au distributeur. Super, ça marche.
Direction, le port. Il est 6h30, j'ai froid ! De plus, une brume assez opaque empêche le soleil de sortir.
On se croirait presque dans un film de pirates ...
Heureusement, après une bonne heure, le soleil sort. Les couleurs des bateaux apparaissent
Enfin Belo sur mer, petit village de pêcheurs, avec la construction de boutres.
L'hôtel est sympa, ma chambre donne directement sur la mer. Là aussi, pas d'eau chaude mais des bouteilles qui chauffent au soleil dans la journée (elles sont brulantes le soir, et inutilisables sans ajouter de l'eau froide)
La construction des boutres à partir des branches d'arbre.
Et nous sommes à l'ouest de Madagascar, et nous continuons à bénéficier de beaux coucher de soleil
Demain, nous repartirons vers le centre de Madagascar et la RN7, et des parcs.
Demain nous referons 3 heures de pirogue dans l'autre sens, puis après une nuit à Morondava, ce sera 12 heures de taxi brousse pour rejoindre Antsirabe et la RN7. Si vous avez bien suivi, nous refaisons tout le chemin en sens inverse !
Le route, la route et encore la route ... C'est la RN7, certainement la nationale la plus connu à Madagascar, le must à faire !
De chaque côté de la route, des paysages défilent, et la vie malgache
D'une manière générale, Madagascar est très cultivé. Où que je regarde, les champs sont labourés, plantés, récoltés ... et bien sûr, tout est fait manuellement, ou à l'aide des zébus. Je ne verrai aucune machine dans les champs.
La traversée de chaque village est une épopée, énormément de monde qui partage la route avec des petits commerces, empiétant sur le bord de la route. Il faut rajouter les poules, canards, chiens, etc.... Le tout faisant un bazar coloré.
Notre chauffeur, qui se prend pour un pilote de course, ralentit à peine dans les villages ... Incompréhensible, mais les personnes se poussent au dernier moment !
Notre trajet se poursuit, tard dans la nuit. Nous arriverons à l'hôtel vers 21 heures. Encore beaucoup de route, bien secoués.
Su la route, tourisme oblige, nous nous sommes arrêtés dans une fabrique artisanale de papier à partir de l'écorce d'un arbre. Ensuite, c'est un atelier du bois qui nous a accueilli pour nous faire une démonstration de marqueterie.
Pour dîner, nous avons dû trouver en "village" un petit restaurant qui faisait encore à manger. En général, ici, on dîne vers 19h00, et à partir de 21 heures, tout est fermé !
Une nuit, et nous voici partis pour une visite du parc de Ramofana, connu pour ses espèces de lémuriens. Notre guide nous en donnera les noms savants, et je m'empresserai de les oublier.
C'est une belle balade dans une forêt primaire, préservée.
Les lémuriens ne sont pas faciles à prendre en photo. Ils bougent tout le temps.
2 types sur les photos ... Un doré, et des noirs et blancs, plus gros. Sur la photo de droite, une maman avec son bébé, qui a 3 mois environ, et commence à abandonner sa mère quelques minutes, pour se nourrir tout seul.
Le jour suivant, nous voici dans le minibus pour continuer vers le sud ouest. Rien de bien marquant, sauf le timing car nous devons arriver à un endroit précis du Parc Isalo pour le coucher de soleil.
Le parc Isalo sera notre destination pour notre trek - bivouac. Mais en attendant, c'est sa Reine ... la Reine du parc Isalo qui nous accueille. Ensuite, la fenêtre du parc Isalo pour avoir l'aperçu magique (et touristique !!!).
Les alentours du parc sont en feu. Les voleurs de zébus prennent l'habitude de mettre le feu pour effacer leurs traces. L'aspect est donc brumeux, on se croirait en extrême orient ...
C'est parti, lever ... tôt ... à 7h00 nous sommes dans la voiture pour rejoindre l'entrée du parc. Il faut prendre les tickets, nous avons une guide, une cuisinière, des porteurs (qui ne nous suivent pas, ils iront directement au camping).
La parc Isalo est un plateau à 100 mètres d'altitude environ, avec une très belle vue sur les plaines environnantes. Quelques "canyons" très larges, avec de petites rivières et piscines naturelles au fond.
Ce parc est la première destination naturelle malgache, c'est la plus ancienne. Très connue, très touristiques. Heureusement pour nous, ce n'est pas surpeuplé.
Sur la photo de gauche, avec ma jeune covoyageuse canadienne.
Il fait chaud, bien sûr (mais la saison la plus chaude est octobre)
Les piscines ...
Trop froid pour moi, mais pas pour quelqu'un venant du Canada qui a fait honneur à ces piscines.
Faune et flore ... un aloë véra rouge, un baobab nain endémique avec ses fleurs jaunes, et un scorpion trouvé en retournant les pierres.
Et nous voici arrivés au campement. Contrairement au Makay où nous étions dans un endroit isolé, ici, la nuit se passe dans un endroit aménagé pour le camping. Chance, nous serons les seuls à y passer la nuit.
Les feux ne sont pas occupés, et la cuisine se prépare ... En fait, la Chef est derrière en style mouton ... Devant est un jeune stagiaire encore à l'école qui nous accompagne.
Lors du déjeuner, des cohortes de lémuriens sont arrivés ... Ils ont visiblement l'habitude des humains qui déjeunent et ne sont pas "trop" farouches.
Première étape du lémurien au lever ... se mettre bien au soleil pour se réchauffer. Maintenant, je sais que j'ai un petit côté lémurien au lever !!!
Les bruns sont les plus belliqueux, ils n'hésitent pas à monter sur la table piquer quelque chose ... Et ils chassent les autres gris et blancs qui en ont peur. Heureusement, il y a bien assez à manger pour tout le monde.
Encore une soirée avec ma covoyageuse, à siroter du rhum ... Moi, je vais aller me coucher, elle tiendra le coup jusqu'à 2 ou 3 heures du matin à boire (avec le patron !)
Le lendemain, c'est la séparation. Véronique remonte vers le Nord et Antananarivo pour prendre son avion.
Moi, je reprends la route vers le Sud, pour finir la RN7 qui se termine à Toliara.
Si les paysages ne changent pas, c'est moi qui me plonge dans l'authenticité des transports malgaches !
Je prends un vrai taxi brousse qui va faire 15 km en plus d'une heure. Il s'arrête tous les 2 km charger du monde ou des sacs qu'il déchargera le long de la route.
Au bout de 15 km, je dois changer de minibus. Je suis débarqué devant une boutique, et je vais attendre ... Vers 9 heures, mon deuxième véhicule arrive. Il est déjà bien plein.
C'est le genre de bus où nous sommes assis à 6 sur une banquette de 4 sièges ! Intéressant quand on sait que je vais y passer 8 heures ...
Pas de pause (sauf biologique). Pour déjeuner, un arrêt le long de la route dans un village, et nous sommes assaillis de jeunes filles qui ont des bananes, ou brochettes, ou gâteaux ronds, ou ...
Chacun achète dans une joyeuse cohue. Je prendrai des bananes pour mon déjeuner.
Et nous continuons. A 10 km de l'arrivée, panne de notre bus (c'est la photo). On s'éparpille autour en attendant qua le chauffeur et son aide répare? Démontage du tableau de bord, levier de vitesse resserré, quelques coups de clé dans le moteur, on remet de l'eau, de l'huile ... et une demi-heure plus tard, le bus ne redémarre pas !!! 5 personnes le poussent, et victoire, dans son panache noir, le moteur démarre.
Plus que 10 km, soit une demi-heure ... Enfin, je descends du bus pour de bon. Je suis assailli pas les cyclo-pousses. J'en choisi un au hasard, pour être tranquille. Je lui demande combien ... 10 000 ariary (2 euros). Les autres rient à côté, du coup, je redescends le prix à 3 000. Les autres trouvent ce prix normal.
Sac sur le cyclo pousse, moi aussi ... et Google Map pour diriger mon chauffeur et arriver au bon hôtel.
Enfin, j'y suis. La douche est chaude avec de la pression !!! Ca fait du bien.
En résumé, j'aurai mis 10 heures pour faire 230 km, coincé sur 2/3 de siège !!! Mais quand on aime l'authentique ...
Me voici à Toliara (ex Tulear).
Taxi-brousse, mais il y a plus grand et je suppose pire !!! Vive les camions-taxi-brousse ...
Bétaillère humaine ? On n'en est pas loin !!! Parfois, aucun autre solution existe ...
Je suis installé à l'hôtel pour 4 jours. Ils vont sembler un peu longs ! J'avais prévu une journée dans le sud à Ankalao (plage), et une au nord à Renalia (parc). Les 2 destinations vont tomber à l'eau ... Un seul bateau pour aller à Ankalao, et difficile de faire l'aller-retour dans la journée, et pour le parc, je n'ai pas trouvé de groupe auquel me joindre ! Aléas du voyage lorsqu'on est seul.
Tulear, en résumé, est une ville portuaire (donc avec bars et boites de nuit ;.. pas essayé), sans intérêt.
Le centre ville ressemble à un immense marché, fringues, chaussures, et gargotes. Les bateaux, arrivant de Chine, débarquent leurs cargaisons ici, et une partie est vendue dans les rues. J'ai vu beaucoup de magasins vendant en gros des ballots de vêtements, chaussures ...
Une journée suffirait pour tout voir. Je vais donc me reposer, acheter un ou deux souvenirs, et marcher dans les rues bondées. Et vive le pousse-pousse ..
Demain, ce sera le début de mon retour vers Nice : Tulear - Antananarivo puis, Antananarivo - île Maurice, puis Île Maurice - Paris - Nice ...3 jours
Et pour terminer ce voyage à Madagascar, je vous propose un petit tour de pousse-pousse à Tulear
Et voilà, Adieu Madagascar ... ou peut-être à un jour prochain pour faire le Sud ...